Alexandre parle de son métier de boulanger !
Alex a 34 ans, il a un parcours professionnel assez atypique. Il n’a pas toujours été boulanger. Écoutez son témoignage afin de comprendre pourquoi un jour il a décidé de « changer de vie »…
DOCUMENT AUDIO :
Voici les informations que vous devez entendre dans le document de manière à pouvoir faire l’exercice ensuite.
1) Quel est le parcours d’Alex ? Qu’est-ce qu’il a fait dans sa vie ?
2) Pour lui, que représente la fonction publique ?
3) Qu’est-ce qui est intéressant pour lui dans un travail ?
4) Selon lui, quel est l’avantage des métiers liés à l’alimentation ?
5) D’après Alex, quelles sont les caractéristiques du métier de boulanger ?
6) Quel est l’objectif d’Alex ?
7) Qui a payé la formation d’Alex ?
8) Quel diplôme a obtenu Alex ?
9) Ça fait combien de temps qu’il travaille à Sèvres ?
10) Combien d’heures de travail fait-il par jour ?
11) Que veut-il faire maintenant ?
Écoutez le document.
EXERCICE :
Choisissez les réponses correctes.
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TRANSCRIPTION :
Après l'exercice, lisez la transcription et les remarques pour apprendre le vocabulaire et comprendre les prononciations.
Gab : Alex, tu as un parcours professionnel assez original, tu peux nous expliquer, un petit peu ?
Alex : Euh, oui, bien sûr. En fait, euh*, bon, si je reprends loin, moi j’ai fait des études universitaires. J’ai une Maîtrise (a) d’histoire, donc c’est un niveau… quatre années après le bac (1), euh, en France. Mais ensuite, euh, j’ai travaillé un peu à l’étranger et finalement j’ai passé un concours (2) de la fonction publique, et les concours de la fonction publique, euh, en France, euh : on passe un écrit. Il y a** plusieurs catégories : A, B, ou C. Moi, j’ai passé des concours de catégorie B. Et, euh, donc j’ai passé l’écrit, et puis après l’oral et finalement j’ai été accepté (2) à un concours. Et il se trouve que c’était un concours pour travailler au ministère de l’Education nationale, en France. Alors j’ai travaillé pendant trois ans, euh, dans ce ministère. La première année, je me suis occupé, euh, de l’évaluation des diplômes étrangers, donc des diplômes du monde entier, ce qui était très intéressant comme travail pendant un an. Et donc, euh, le problème, c’est que j’ai… ce service a été, euh, affecté, euh, privatisé, donc après, j’ai changé, et pendant deux ans, j’ai travaillé, euh, pour les étudiants dans, dans, dans la santé (3),tout ce qui est (4) bourses (5), aides aux étudiants. Mais, euh, au bout de ces trois années, euh, je me suis dit « est-ce que vraiment je veux rester dans la fonction publique ? », qui donne la sécurité de l’emploi, mais finalement pas beaucoup de, de perspectives, euh, de salaire, de, de carrière, euh, une certaine sécurité mais qui, qui rend un peu passif. J’aime beaucoup voyager, euh, voilà donc je me suis posé la question : « Est-ce que je veux continuer et si, si je veux changer, qu’est-ce que je pourrais faire qui soit (6) intéressant, qui me donne (6)qui me donne (6) la satisfaction au travail, et qui me permette (6) peut-être éventuellement de, de, de voyager, quoi, enfin ou de travailler à l’étranger ? ». En réfléchissant, euh, à ce qui marche bien pour la France à l’étranger, c’est simple, c’est la bouffe (7), quoi ! [rires] Donc c’est être cuisinier, c’est être, euh, pâtissier ou boulanger ! Ben, il se trouve que j’ai, j’ai choisi de… de me former pour devenir boulanger. Alors pourquoi boulanger ? Parce que les boulangers, ici, on…, c’est pas un métier…, c’est un métier manuel, donc c’est pas très intellectuel (8), c’est difficile, parce que c’est physique, on se lève tôt… Mais euh… quand même, on… quand on fait un produit…, du pain, ou des croissants, on le fait de ses propres mains, donc on voit le résultat de son travail, on a une certaine satisfaction quand il est bien fait. Et, et ensuite, euh, c’est un métier où… (9) peu de gens veulent le faire, parce qu’il est donc difficile, et donc il y a** beaucoup d’offres d’emploi. Ensuite, il y a** beaucoup de demandes, dans tout le monde entier, que ce soit aux Etats-Unis, en Australie, au Brésil, en Suède, au Japon… ou dans n’importe quel pays. Donc : sécurité de l’emploi, certes comme un fonctionnaire, presque (!), un salaire motivant et puis la possibilité aussi de faire une entreprise, euh, par la suite, une fois qu’on a appris le métier, parce que mon objectif, c’est donc quand même de faire… d’apprendre à faire des produits de qualité, mais également de… de… fonder ma propre entreprise (10), peut-être en France au départ, pour me lancer (11) et ensuite, de le faire à l’étranger, de choisir un pays, euh, j’ai que… quelques idées de pays, euh, en tête, et la boulangerie me donne cette possibilité. Donc voilà. J’ai décidé, euh, de choisir la boulangerie, et, euh, l’avantage que j’avais après trois années de, de fonction publique, c’est que je pouvais continuer à percevoir (12) une partie de mon salaire pour suivre une formation. Mais attention, la formation coûtait, euh, cher. Donc, euh, j’ai dû payer cette formation, euh…, de moi-même. Mais pendant six mois, donc, j’ai appris le métier, auprès de gens qui avaient beaucoup d’expérience, hein, on appelle ça des… c’était deux « meilleurs ouvriers de France », des « MOF (b) », c’est-à-dire… c’est la plus haute distinction pour, euh…, pour les métiers artisanaux. Ils ont… ils nous ont permis… J’étais avec un groupe de treize personnes, on a appris ce métier et à la fin, on a passé le diplôme qui s’appelle CAP, c’est « certificat d’aptitude professionnelle », de boulanger. Donc j’ai eu mon diplôme. Par la suite, euh…, ben, j’ai décidé de, de mettre, euh, l’expérience, enfin ce que j’avais appris en pratique et maintenant je travaille depuis trois mois dans une boulangerie, euh, à Sèvres, dans la banlieue parisienne, pour apprendre le métier, euh, tel qu’il se pratique dans l’entreprise, euh, hein, on fait beaucoup de, de, de baguettes, de croissants, de pains au chocolat (c), et la théorie est une chose, la pratique est différente. Donc je commence tous les matins à six heures, jusqu’à treize heures et je, je travaille avec, avec un autre boulanger. Donc, euh, je compte faire ça (13) encore quelques mois. Par la suite, j’aimerais bien apprendre à faire du pain biologique, euh, je, je voudrais bien faire aussi, euh, un pain un peu à ma propre façon, des croissants (enfin, je sais déjà faire des croissants), etc., pour pouvoir après, euh, me lancer (11), faire cette, euh, fonder cette entreprise, et, euh, voilà : éventuellement (14) m’installer (15) à l’étranger.
Gab : Ben très bien ! Merci beaucoup !
Alex : Euh, oui, bien sûr. En fait, euh*, bon, si je reprends loin, moi j’ai fait des études universitaires. J’ai une Maîtrise (a) d’histoire, donc c’est un niveau… quatre années après le bac (1), euh, en France. Mais ensuite, euh, j’ai travaillé un peu à l’étranger et finalement j’ai passé un concours (2) de la fonction publique, et les concours de la fonction publique, euh, en France, euh : on passe un écrit. Il y a** plusieurs catégories : A, B, ou C. Moi, j’ai passé des concours de catégorie B. Et, euh, donc j’ai passé l’écrit, et puis après l’oral et finalement j’ai été accepté (2) à un concours. Et il se trouve que c’était un concours pour travailler au ministère de l’Education nationale, en France. Alors j’ai travaillé pendant trois ans, euh, dans ce ministère. La première année, je me suis occupé, euh, de l’évaluation des diplômes étrangers, donc des diplômes du monde entier, ce qui était très intéressant comme travail pendant un an. Et donc, euh, le problème, c’est que j’ai… ce service a été, euh, affecté, euh, privatisé, donc après, j’ai changé, et pendant deux ans, j’ai travaillé, euh, pour les étudiants dans, dans, dans la santé (3),tout ce qui est (4) bourses (5), aides aux étudiants. Mais, euh, au bout de ces trois années, euh, je me suis dit « est-ce que vraiment je veux rester dans la fonction publique ? », qui donne la sécurité de l’emploi, mais finalement pas beaucoup de, de perspectives, euh, de salaire, de, de carrière, euh, une certaine sécurité mais qui, qui rend un peu passif. J’aime beaucoup voyager, euh, voilà donc je me suis posé la question : « Est-ce que je veux continuer et si, si je veux changer, qu’est-ce que je pourrais faire qui soit (6) intéressant, qui me donne (6)qui me donne (6) la satisfaction au travail, et qui me permette (6) peut-être éventuellement de, de, de voyager, quoi, enfin ou de travailler à l’étranger ? ». En réfléchissant, euh, à ce qui marche bien pour la France à l’étranger, c’est simple, c’est la bouffe (7), quoi ! [rires] Donc c’est être cuisinier, c’est être, euh, pâtissier ou boulanger ! Ben, il se trouve que j’ai, j’ai choisi de… de me former pour devenir boulanger. Alors pourquoi boulanger ? Parce que les boulangers, ici, on…, c’est pas un métier…, c’est un métier manuel, donc c’est pas très intellectuel (8), c’est difficile, parce que c’est physique, on se lève tôt… Mais euh… quand même, on… quand on fait un produit…, du pain, ou des croissants, on le fait de ses propres mains, donc on voit le résultat de son travail, on a une certaine satisfaction quand il est bien fait. Et, et ensuite, euh, c’est un métier où… (9) peu de gens veulent le faire, parce qu’il est donc difficile, et donc il y a** beaucoup d’offres d’emploi. Ensuite, il y a** beaucoup de demandes, dans tout le monde entier, que ce soit aux Etats-Unis, en Australie, au Brésil, en Suède, au Japon… ou dans n’importe quel pays. Donc : sécurité de l’emploi, certes comme un fonctionnaire, presque (!), un salaire motivant et puis la possibilité aussi de faire une entreprise, euh, par la suite, une fois qu’on a appris le métier, parce que mon objectif, c’est donc quand même de faire… d’apprendre à faire des produits de qualité, mais également de… de… fonder ma propre entreprise (10), peut-être en France au départ, pour me lancer (11) et ensuite, de le faire à l’étranger, de choisir un pays, euh, j’ai que… quelques idées de pays, euh, en tête, et la boulangerie me donne cette possibilité. Donc voilà. J’ai décidé, euh, de choisir la boulangerie, et, euh, l’avantage que j’avais après trois années de, de fonction publique, c’est que je pouvais continuer à percevoir (12) une partie de mon salaire pour suivre une formation. Mais attention, la formation coûtait, euh, cher. Donc, euh, j’ai dû payer cette formation, euh…, de moi-même. Mais pendant six mois, donc, j’ai appris le métier, auprès de gens qui avaient beaucoup d’expérience, hein, on appelle ça des… c’était deux « meilleurs ouvriers de France », des « MOF (b) », c’est-à-dire… c’est la plus haute distinction pour, euh…, pour les métiers artisanaux. Ils ont… ils nous ont permis… J’étais avec un groupe de treize personnes, on a appris ce métier et à la fin, on a passé le diplôme qui s’appelle CAP, c’est « certificat d’aptitude professionnelle », de boulanger. Donc j’ai eu mon diplôme. Par la suite, euh…, ben, j’ai décidé de, de mettre, euh, l’expérience, enfin ce que j’avais appris en pratique et maintenant je travaille depuis trois mois dans une boulangerie, euh, à Sèvres, dans la banlieue parisienne, pour apprendre le métier, euh, tel qu’il se pratique dans l’entreprise, euh, hein, on fait beaucoup de, de, de baguettes, de croissants, de pains au chocolat (c), et la théorie est une chose, la pratique est différente. Donc je commence tous les matins à six heures, jusqu’à treize heures et je, je travaille avec, avec un autre boulanger. Donc, euh, je compte faire ça (13) encore quelques mois. Par la suite, j’aimerais bien apprendre à faire du pain biologique, euh, je, je voudrais bien faire aussi, euh, un pain un peu à ma propre façon, des croissants (enfin, je sais déjà faire des croissants), etc., pour pouvoir après, euh, me lancer (11), faire cette, euh, fonder cette entreprise, et, euh, voilà : éventuellement (14) m’installer (15) à l’étranger.
Gab : Ben très bien ! Merci beaucoup !
Remarques de prononciation :
* euh : quand on hésite, quand on cherche ses mots, on dit « euh », et quand on parle, on hésite beaucoup… Donc il y a beaucoup de « euh » dans le témoignage d’Alex !
** il y a : vous remarquez qu’Alex, comme beaucoup de personnes francophones prononce « y’a », c’est une prononciation courante du célèbre « il y a » !
** il y a : vous remarquez qu’Alex, comme beaucoup de personnes francophones prononce « y’a », c’est une prononciation courante du célèbre « il y a » !
Remarques de grammaire et de vocabulaire :
1) le bac = le baccalauréat, le diplôme qu’on passe en dernière année de lycée. C’est la condition pour pouvoir s’inscrire à l’université. En France, il n’y a pas de concours spécial pour intégrer l’université.
2) passer un concours : un concours, c’est un examen avec un nombre de limité de candidats qui seront acceptés. En français, « passer » un examen, ou un concours, c’est l’écrire ou bien se présenter devant un jury. Mais pour exprimer l’idée de succès, on peut dire, comme Alex « j’ai été accepté au concours », ou bien : « « j’ai passé mon concours avec succès », « j’ai réussi mon examen », « j’ai obtenu mon examen », « j’ai eu mon examen ». Dans le cas contraire, on peut dire « j’ai échoué à mon examen » ou encore la forme familière, mais beaucoup plus habituelle : « J’ai raté mon examen ».
3) dans la santé : Alex aurait pu dire « dans le domaine de la santé », « dans le secteur de la santé » ou encore « dans la branche de la santé » mais ce « raccourci » est assez courant. Moi, je peux dire que « je travaille dans l’enseignement ».
4) tout ce qui est = c’est une forme orale pour dire « tout ce qui concerne les… ».
5) une bourse = une aide financière attribuée à un étudiant. Il existe des bourses pour les étudiants ayant peu de revenus mais aussi des bourses au mérite (comme les bourses de thèse, par exemple).
6) qui soit : vous remarquerez les subjonctifs dans cette phrase… on emploie en effet le subjonctif dans les phrases relatives qui précisent les caractéristiques de ce que l'on cherche ou voudrait avoir.
7) la bouffe : c’est un mot familier pour désigner la nourriture, les repas. Le verbe « bouffer », familier lui aussi, signifie manger.
8) c’est pas très intellectuel : comme beaucoup de gens, Alex oublie le « ne » de la négation. J’imagine que vous avez déjà remarqué cette erreur très fréquente ! On oublie plus souvent le « ne » qu’on ne l’utilise… Et oui, toute langue évolue !
9) c’est un métier où… : Alex commence sa phrase avec une structure puis après avoir hésité, change de structure. S’il avait continué sa phrase avec son idée initiale, il aurait dit « c’est un métier que peu de gens veulent faire ».
10) fonder ma propre entreprise : on peut dire « faire une entreprise » (mais c’est très oral) ou « monter une entreprise » (c’est un peu familier), ou encore « créer une entreprise », ou bien comme Alex ici « fonder une entreprise ».
11) se lancer = « essayer », « commencer », voire, parfois, « prendre des risques ».
12) percevoir : On peut dire aussi « recevoir » ou « toucher » un salaire. « Toucher » est un petit peu plus familier.
13) Je compte + infinitif = J’espère… / Je pense… / J’ai comme projet de…
14) éventuellement : ce mot signifie « peut-être » en français. Attention si vous parlez aussi l’anglais !
15) s’installer quelque part = aller habiter / travailler quelque part. Mais il est vrai que « s’installer avec quelqu’un » signifie « se mettre en couple avec quelqu’un ».
2) passer un concours : un concours, c’est un examen avec un nombre de limité de candidats qui seront acceptés. En français, « passer » un examen, ou un concours, c’est l’écrire ou bien se présenter devant un jury. Mais pour exprimer l’idée de succès, on peut dire, comme Alex « j’ai été accepté au concours », ou bien : « « j’ai passé mon concours avec succès », « j’ai réussi mon examen », « j’ai obtenu mon examen », « j’ai eu mon examen ». Dans le cas contraire, on peut dire « j’ai échoué à mon examen » ou encore la forme familière, mais beaucoup plus habituelle : « J’ai raté mon examen ».
3) dans la santé : Alex aurait pu dire « dans le domaine de la santé », « dans le secteur de la santé » ou encore « dans la branche de la santé » mais ce « raccourci » est assez courant. Moi, je peux dire que « je travaille dans l’enseignement ».
4) tout ce qui est = c’est une forme orale pour dire « tout ce qui concerne les… ».
5) une bourse = une aide financière attribuée à un étudiant. Il existe des bourses pour les étudiants ayant peu de revenus mais aussi des bourses au mérite (comme les bourses de thèse, par exemple).
6) qui soit : vous remarquerez les subjonctifs dans cette phrase… on emploie en effet le subjonctif dans les phrases relatives qui précisent les caractéristiques de ce que l'on cherche ou voudrait avoir.
7) la bouffe : c’est un mot familier pour désigner la nourriture, les repas. Le verbe « bouffer », familier lui aussi, signifie manger.
8) c’est pas très intellectuel : comme beaucoup de gens, Alex oublie le « ne » de la négation. J’imagine que vous avez déjà remarqué cette erreur très fréquente ! On oublie plus souvent le « ne » qu’on ne l’utilise… Et oui, toute langue évolue !
9) c’est un métier où… : Alex commence sa phrase avec une structure puis après avoir hésité, change de structure. S’il avait continué sa phrase avec son idée initiale, il aurait dit « c’est un métier que peu de gens veulent faire ».
10) fonder ma propre entreprise : on peut dire « faire une entreprise » (mais c’est très oral) ou « monter une entreprise » (c’est un peu familier), ou encore « créer une entreprise », ou bien comme Alex ici « fonder une entreprise ».
11) se lancer = « essayer », « commencer », voire, parfois, « prendre des risques ».
12) percevoir : On peut dire aussi « recevoir » ou « toucher » un salaire. « Toucher » est un petit peu plus familier.
13) Je compte + infinitif = J’espère… / Je pense… / J’ai comme projet de…
14) éventuellement : ce mot signifie « peut-être » en français. Attention si vous parlez aussi l’anglais !
15) s’installer quelque part = aller habiter / travailler quelque part. Mais il est vrai que « s’installer avec quelqu’un » signifie « se mettre en couple avec quelqu’un ».
Remarques culturelles :
a) la Maîtrise : comme Alex l’explique, c’était un diplôme obtenu au niveau Bac+4. Mais les universités françaises ont à présent adopté le système européen « LMD », c’est-à-dire Licence / Master / Doctorat. Beaucoup d’étudiants obtiennent donc maintenant un diplôme de Bac+5.
b) MOF : pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site http://www.meilleursouvriersdefrance.info/
c) un pain au chocolat : dans une grande partie de la France, et des pays francophones, on appelle en effet ces viennoiseries « pains au chocolat »… Mais si vous allez dans le Sud de la France, en particulier dans le Sud-ouest, demandez une CHOCOLATINE ! Et oui, les mots peuvent changer en fonction des régions ! NB : je suis originaire du Sud-ouest...
b) MOF : pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site http://www.meilleursouvriersdefrance.info/
c) un pain au chocolat : dans une grande partie de la France, et des pays francophones, on appelle en effet ces viennoiseries « pains au chocolat »… Mais si vous allez dans le Sud de la France, en particulier dans le Sud-ouest, demandez une CHOCOLATINE ! Et oui, les mots peuvent changer en fonction des régions ! NB : je suis originaire du Sud-ouest...
6 commentaires:
Bonjour Gabrielle,
incontestablement, votre site me semble promis à un grand avenir.
C'est très impressionnant tant sur l'originalité du concept que sur le plan technique, et je ne parle même pas des longues heures de retranscription de vos interviews. La patience doit être l'une de vos vertus.
Et puisque vous me demandez mon avis, je ne verrais qu'une seule critique : la taille des caractères du texte me semble trop petite pour une lecture aisée.
En tout cas, je pense que si vous poursuivez dans cette voie, vous devriez rencontrer un assez grand succès.
Bien à vous
Bonjour et merci pour vos encouragements ! En ce qui concerne la taille des caractères, je vais essayer de grossir un peu tout ça... Cordialement. Gabrielle!
Bonjour. Votre Blog m'a été d'un grand secours, moi qui étais à la recherche de supports audio pour mes apprenants. Je regrette seulement qu'il n'y ait pas de niveau C1 et C2
Merci.
Bonjour Fransid,
Merci pour votre commentaire. Et enchantée d'avoir pu vous aider !
En ce qui concerne les niveaux C1 et C2, c'est par manque de temps mais je ne désespère pas d'y arriver un de ces jours. :-)
Bien cordialement,
Gabrielle
Bonsoir Gab,
c'est vrai, les mots éventuellement et actuellement sont deux mots, qui je peut rappeler en ce moment, qui a totalement différent sens d'anglais.
Merci
Tenzin
Je vous en prie, Tenzin !
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