Philippe parle du Pays basque !
Philippe a une trentaine d'années, il travaille depuis quelques années en région parisienne. Mais il n'y est pas né : il est originaire du Sud-Ouest de la France. C'est pour cela qu'il connaît bien le Pays basque dont il aime bien parler…
DOCUMENT AUDIO :
Voici les informations que vous devez entendre dans le document...
1) Où est-ce que Philippe habite ?
2) Quand est-ce qu’il va au Pays basque ?
3) Les fêtes de Bayonne, qu’est-ce que c’est selon lui ?
4) Comment y sont habillés les gens ?
5) Quelles sont les activités proposées lors de ces fêtes ?
6) À Bayonne, autour de quoi est centrée (organisée) la fête, d’après Philippe ?
7) Que fait-on avec les vaches qui sont dans la rue ?
8) Est-ce qu’il y a des accidents ?
9 Quelles sont les autres traditions de ces fêtes ?
Écoutez le document.
EXERCICE :
Choisissez les réponses correctes.
TRANSCRIPTION :
Après l'exercice, lisez la transcription et les remarques pour apprendre le vocabulaire et comprendre les prononciations.
Remarques de prononciation :
Remarques de grammaire et de vocabulaire :
Remarques culturelles :
Philippe a une trentaine d'années, il travaille depuis quelques années en région parisienne. Mais il n'y est pas né : il est originaire du Sud-Ouest de la France. C'est pour cela qu'il connaît bien le Pays basque dont il aime bien parler…
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Voici les informations que vous devez entendre dans le document...
1) Où est-ce que Philippe habite ?
2) Quand est-ce qu’il va au Pays basque ?
3) Les fêtes de Bayonne, qu’est-ce que c’est selon lui ?
4) Comment y sont habillés les gens ?
5) Quelles sont les activités proposées lors de ces fêtes ?
6) À Bayonne, autour de quoi est centrée (organisée) la fête, d’après Philippe ?
7) Que fait-on avec les vaches qui sont dans la rue ?
8) Est-ce qu’il y a des accidents ?
9 Quelles sont les autres traditions de ces fêtes ?
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EXERCICE :
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TRANSCRIPTION :
Après l'exercice, lisez la transcription et les remarques pour apprendre le vocabulaire et comprendre les prononciations.
- Gab : Ça va Philippe, tu es* bien installé, euh**… ? [Philippe : Ah oui, j’...] Tu as tout ce qu’il faut*** pour boire et tout ?
- Philippe : Ah oui, j’ai, j’ai tout ce qu’il faut***, oui.
- Gab : Bon, on va commencer, alors. Dis, où est-ce que tu habites en ce moment ?
- Philippe : J’habite en région parisienne.
- Gab : Ah ! Mais tu es pas (1) parisien à l’origine…
- Philippe : Ah, non, je suis de Bayonne.
- Gab : De Bayonne ?
- Philippe : Oui. Au Pays basque.
- Gab : Au Pays basque, d’accord.
- Philippe : Oui.
- Gab : Et, euh, pourquoi tu n’habites pas à Bayonne ?
- Philippe : Parce que je suis obligé de travailler à Paris.
- Gab : OK. [Philippe : Voilà.] Mais tu y reviens souvent quand même, au Pays basque ?
- Philippe : Ah oui. Régulièrement. À toutes les vacances scolaires. [Gab : Ouais****.] Voilà. Et pendant les grandes vacances et le plus souvent possible. Pour retrouver la famille, pour profiter du pays.
- Gab : Et qu’est-ce que tu fais par exemple quand tu vas là-bas ? Euh, à quelles occasions ? Qu’est-ce qu’il y a comme événements qui te plaisent ?
- Philippe : Eh… Par exemple pendant l’été, euh, il y a***** les fêtes de Bayonne…
- Gab : C’est quoi, ça ?
- Philippe : C’est une, euh, euh, ce sont des fêtes qui se, se déroulent (2) sur plusieurs jours, euh, qui se déroulent tous les ans, depuis, euh, des dizaines d’années, et peut-être 80 ans, depuis les années 20. Et voilà, c’est traditionnel, euh, chez nous, et voilà, il y a…, la fête dure toute la journée et toute la nuit…
- Gab : Et qu’est-ce qu’on fait ?
- Philippe : Et qu’est-ce qu’on fait ?... D’abord les gens sont habillés pareil (3), ils sont habillés, euh, avec la tenue du « festayre »(a), ça veut dire « celui qui fait la fête », ils sont habillés de blanc, avec un pantalon blanc, un t-shirt blanc, une ceinture rouge et un foulard (4) rouge. Voilà.
- Gab : Ils font quoi ?
- Philippe : Ils font quoi ? Ils font plein de choses. Euh, il y a des courses de vache, euh, il y a, euh, des corridas, mais ce sont, mais ce sont pas des « ferias » contrairement à ce qui se passe dans les Landes ou à Nîmes ou comme ça, où on parle de « feria » quand la fête est centrée autour de la corrida… À Bayonne, c’est pas une « feria » c’est une fête. Donc il y a la corrida, mais la fête est, est, est principalement organisée autour de, de la ville, et non pas (de) la corrida.
- Gab : Donc on les tue pas, les vaches ?
- Philippe : Ah, si ! À la corrida, on tue toujours le taureau. Il y a des courses de vaches. [Gab : Ouais.] Il y a des courses de vache, oui. Les gens se mettent dans un… on, on boucle (5) un quartier de la ville, on ferme les rues avec des barrières, et sur la place de la ville ou du village, on lâche (6) des vaches et euh, on accroche (7) sur le, le, la nuque (8) de la vache une cocarde et… il faut attraper la cocarde. Et c’est des vaches très vives. Voilà. [Gab: Donc, tout le monde…], auxquelles, auxquelles on a, on a mis des caoutchoucs sur les cornes (9) pour pas… empaler (10) les, les maladroits (11). Et voilà. Et le but, c’est de, de, d’attraper (12) la cocarde !
- Gab : Et tout le monde peut attraper la cocarde ?
- Philippe : C’est… tout le monde qui est, qui est… oui ! Tout le monde peut attraper la cocarde !
- Gab : D’accord. Mais il y a du danger, quand même !
- Philippe : Oui, oui, oui, oui, bien sûr.
- Gab : Il y a des accidents, des fois ?
- Philippe : Des fois, il y a des accidents. Oui, oui, oui. Mais c’est pas (1) des accidents comme à, comme à Pampelune où, où ce sont des taureaux qui ont pas (1) de protection sur les cornes. Mais il y a des accidents parfois sévères, ouais, ouais. C’est costaud (13) une vache ! [Gab : Ouais ouais.] Ça soulève une personne et puis ça… Oui, oui, voilà.
- Gab : D’accord. Et après, qu’est-ce qu’on fait, à part, euh, regarder les courses de vache ?
- Philippe : Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Qu’est-ce qu’on fait ? Il y a tout un, un… une organisation, de, euh, autour de traditions, alors on, on y chante, tous les jours, dans l’après-midi, les gens se regroupent et viennent chanter ensemble des chants traditionnels. Euh, on y danse. Euh ? qu’est-ce qui relève aussi de la tradition ? Euh, les bars ! Bien sûr ! Alors, ça c’est pas l’après-midi, c’est toute la journée et toute la nuit. Voilà, les gens boivent des coups (14). Et voilà, ils discutent, se rencontrent, tout le monde se retrouve, mêmes les gens qui habitent plus à Bayonne, euh, reviennent en général pour les fêtes de Bayonne, ils retrouvent leurs anciens amis, voilà, c’est une « petite fête », de masse parce qu’il y a, il y a quand même pas mal de (15) monde mais… voilà.
- Gab : Tu peux nous chanter une petite chanson ?
- Philippe : Oui !
- Gab : Ouais ? Vas-y !
- Philippe : Pause ! Attends, attends, on va décider de laquelle on chante !
- Gab : J’enregistre ?
- Philippe : Pause !
- Philippe : Ah oui, j’ai, j’ai tout ce qu’il faut***, oui.
- Gab : Bon, on va commencer, alors. Dis, où est-ce que tu habites en ce moment ?
- Philippe : J’habite en région parisienne.
- Gab : Ah ! Mais tu es pas (1) parisien à l’origine…
- Philippe : Ah, non, je suis de Bayonne.
- Gab : De Bayonne ?
- Philippe : Oui. Au Pays basque.
- Gab : Au Pays basque, d’accord.
- Philippe : Oui.
- Gab : Et, euh, pourquoi tu n’habites pas à Bayonne ?
- Philippe : Parce que je suis obligé de travailler à Paris.
- Gab : OK. [Philippe : Voilà.] Mais tu y reviens souvent quand même, au Pays basque ?
- Philippe : Ah oui. Régulièrement. À toutes les vacances scolaires. [Gab : Ouais****.] Voilà. Et pendant les grandes vacances et le plus souvent possible. Pour retrouver la famille, pour profiter du pays.
- Gab : Et qu’est-ce que tu fais par exemple quand tu vas là-bas ? Euh, à quelles occasions ? Qu’est-ce qu’il y a comme événements qui te plaisent ?
- Philippe : Eh… Par exemple pendant l’été, euh, il y a***** les fêtes de Bayonne…
- Gab : C’est quoi, ça ?
- Philippe : C’est une, euh, euh, ce sont des fêtes qui se, se déroulent (2) sur plusieurs jours, euh, qui se déroulent tous les ans, depuis, euh, des dizaines d’années, et peut-être 80 ans, depuis les années 20. Et voilà, c’est traditionnel, euh, chez nous, et voilà, il y a…, la fête dure toute la journée et toute la nuit…
- Gab : Et qu’est-ce qu’on fait ?
- Philippe : Et qu’est-ce qu’on fait ?... D’abord les gens sont habillés pareil (3), ils sont habillés, euh, avec la tenue du « festayre »(a), ça veut dire « celui qui fait la fête », ils sont habillés de blanc, avec un pantalon blanc, un t-shirt blanc, une ceinture rouge et un foulard (4) rouge. Voilà.
- Gab : Ils font quoi ?
- Philippe : Ils font quoi ? Ils font plein de choses. Euh, il y a des courses de vache, euh, il y a, euh, des corridas, mais ce sont, mais ce sont pas des « ferias » contrairement à ce qui se passe dans les Landes ou à Nîmes ou comme ça, où on parle de « feria » quand la fête est centrée autour de la corrida… À Bayonne, c’est pas une « feria » c’est une fête. Donc il y a la corrida, mais la fête est, est, est principalement organisée autour de, de la ville, et non pas (de) la corrida.
- Gab : Donc on les tue pas, les vaches ?
- Philippe : Ah, si ! À la corrida, on tue toujours le taureau. Il y a des courses de vaches. [Gab : Ouais.] Il y a des courses de vache, oui. Les gens se mettent dans un… on, on boucle (5) un quartier de la ville, on ferme les rues avec des barrières, et sur la place de la ville ou du village, on lâche (6) des vaches et euh, on accroche (7) sur le, le, la nuque (8) de la vache une cocarde et… il faut attraper la cocarde. Et c’est des vaches très vives. Voilà. [Gab: Donc, tout le monde…], auxquelles, auxquelles on a, on a mis des caoutchoucs sur les cornes (9) pour pas… empaler (10) les, les maladroits (11). Et voilà. Et le but, c’est de, de, d’attraper (12) la cocarde !
- Gab : Et tout le monde peut attraper la cocarde ?
- Philippe : C’est… tout le monde qui est, qui est… oui ! Tout le monde peut attraper la cocarde !
- Gab : D’accord. Mais il y a du danger, quand même !
- Philippe : Oui, oui, oui, oui, bien sûr.
- Gab : Il y a des accidents, des fois ?
- Philippe : Des fois, il y a des accidents. Oui, oui, oui. Mais c’est pas (1) des accidents comme à, comme à Pampelune où, où ce sont des taureaux qui ont pas (1) de protection sur les cornes. Mais il y a des accidents parfois sévères, ouais, ouais. C’est costaud (13) une vache ! [Gab : Ouais ouais.] Ça soulève une personne et puis ça… Oui, oui, voilà.
- Gab : D’accord. Et après, qu’est-ce qu’on fait, à part, euh, regarder les courses de vache ?
- Philippe : Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Qu’est-ce qu’on fait ? Il y a tout un, un… une organisation, de, euh, autour de traditions, alors on, on y chante, tous les jours, dans l’après-midi, les gens se regroupent et viennent chanter ensemble des chants traditionnels. Euh, on y danse. Euh ? qu’est-ce qui relève aussi de la tradition ? Euh, les bars ! Bien sûr ! Alors, ça c’est pas l’après-midi, c’est toute la journée et toute la nuit. Voilà, les gens boivent des coups (14). Et voilà, ils discutent, se rencontrent, tout le monde se retrouve, mêmes les gens qui habitent plus à Bayonne, euh, reviennent en général pour les fêtes de Bayonne, ils retrouvent leurs anciens amis, voilà, c’est une « petite fête », de masse parce qu’il y a, il y a quand même pas mal de (15) monde mais… voilà.
- Gab : Tu peux nous chanter une petite chanson ?
- Philippe : Oui !
- Gab : Ouais ? Vas-y !
- Philippe : Pause ! Attends, attends, on va décider de laquelle on chante !
- Gab : J’enregistre ?
- Philippe : Pause !
Remarques de prononciation :
Tout d’abord, vous pourrez écouter encore une fois cette interview pour faire attention aux prononciations… Philippe a gardé un petit accent du Sud… Pourrez-vous l’entendre ?
*tu es : comme on le fait souvent, j’ai prononcé « t’es »… Ce n’est pas très académique...
**euh : on dit « euh » quand on hésite, quand on cherche ses mots.
***tout ce qu’il faut : vous remarquerez qu’on entend « tout ce qui faut ». C’est une prononciation courante… qu’on n’écrit pas !
****ouais : c’est la forme familière de « oui ».
***** il y a : on entend « y’a » mais c’est une prononciation habituelle.
*tu es : comme on le fait souvent, j’ai prononcé « t’es »… Ce n’est pas très académique...
**euh : on dit « euh » quand on hésite, quand on cherche ses mots.
***tout ce qu’il faut : vous remarquerez qu’on entend « tout ce qui faut ». C’est une prononciation courante… qu’on n’écrit pas !
****ouais : c’est la forme familière de « oui ».
***** il y a : on entend « y’a » mais c’est une prononciation habituelle.
Remarques de grammaire et de vocabulaire :
1) tu es pas / c’est pas / qui ont pas : vous remarquez que dans cette discussion informelle avec Philippe, je n’ai pas dit « ne ». Philippe non plus. C’est une erreur, mais comme elle est très courante, très habituelle, elle est excusable… sauf pendant un examen, d’accord ?!
2) se déroulent : pour parler d’un événement, on peut utiliser plusieurs verbes : quelque chose peut « se passer » / « arriver » / « avoir lieu ». Quand l’événement arrive par surprise (un accident, par exemple), on utilise plutôt « se produire », « survenir ». Et pour parler d’un concert, d’un festival, d’une fête, d’une manifestation, c’est plutôt le verbe « se dérouler ».
3) pareil = de manière similaire, de la même manière.
4) un foulard = un morceau de tissu qu’on se met sur la tête ou autour du cou.
5) on boucle = (ici) on ferme.
6) on lâche = on libère, on met en liberté.
7) on accroche = on met, on fixe (une cocarde = un objet en tissu coloré).
8) la nuque = l’arrière du cou (on utilise aussi ce mot pour les humains)
9) les cornes = les deux choses que la vache a sur la tête - et qui peuvent être dangereuses !
10) empaler = blesser gravement -quand un objet pointu (les cornes) s’enfonce dans le corps de quelqu’un…
11) les maladroits = (ici) les gens qui ne font pas assez attention.
12) attraper = prendre rapidement avec les mains, saisir.
13) costaud = fort
14) boire un coup = boire quelque chose / boire des coups = boire de manière plutôt… répétitive ! Ces expressions sont un peu familières.
15) Pas mal de = beaucoup de
2) se déroulent : pour parler d’un événement, on peut utiliser plusieurs verbes : quelque chose peut « se passer » / « arriver » / « avoir lieu ». Quand l’événement arrive par surprise (un accident, par exemple), on utilise plutôt « se produire », « survenir ». Et pour parler d’un concert, d’un festival, d’une fête, d’une manifestation, c’est plutôt le verbe « se dérouler ».
3) pareil = de manière similaire, de la même manière.
4) un foulard = un morceau de tissu qu’on se met sur la tête ou autour du cou.
5) on boucle = (ici) on ferme.
6) on lâche = on libère, on met en liberté.
7) on accroche = on met, on fixe (une cocarde = un objet en tissu coloré).
8) la nuque = l’arrière du cou (on utilise aussi ce mot pour les humains)
9) les cornes = les deux choses que la vache a sur la tête - et qui peuvent être dangereuses !
10) empaler = blesser gravement -quand un objet pointu (les cornes) s’enfonce dans le corps de quelqu’un…
11) les maladroits = (ici) les gens qui ne font pas assez attention.
12) attraper = prendre rapidement avec les mains, saisir.
13) costaud = fort
14) boire un coup = boire quelque chose / boire des coups = boire de manière plutôt… répétitive ! Ces expressions sont un peu familières.
15) Pas mal de = beaucoup de
Remarques culturelles :
a) « le festayre » = la personne qui participe aux fêtes de Bayonne - qui ont lieu fin juillet / début août. Le mot « festayre » semble être d’origine gasconne… Pour plus d’informations, ou pour aller à ces fêtes, consultez le site officiel des fêtes de Bayonne : http://www.fetes.bayonne.fr/ !... Voilà, sinon, il y a un autre mot pour désigner quelqu’un qui adore faire la fête, boire, danser, c’est un « fêtard » ou une « fêtarde » !
Une précision : les fêtes de Bayonne ont en fait été créées en 1932… Mais les habitants de la ville sont sans doute des fêtards depuis beaucoup plus longtemps !
Une précision : les fêtes de Bayonne ont en fait été créées en 1932… Mais les habitants de la ville sont sans doute des fêtards depuis beaucoup plus longtemps !
Affiche 2008
L'auteur : http://chizuru.artblog.fr/151553/Fetes-de-Bayonne-2008/
Affiche 2012
La tenue des "Festayres"
Et comme promis par Philippe, voici maintenant sa chanson basque… en basque bien sûr ! Et oui, il n’y a pas que la langue française dans la vie !...
6 commentaires:
Egun on PHILIPPE
Tu as mangé le "k" de « eta nik txoria maite nuen » kasu kasu !
c'est surement Paris il ne faut pas y rester trop longtemps
sinon c'est pas mal tu chantes bien
C'est un quiz trés terrible.
Bonjour Anonyme 1 !
Je suis sûre que Philippe adorerait revenir habiter dans le Pays Basque... Mais il est toujours à Paris !
Cordialement,
Gabrielle
Bonjour Anonyme 2 !
"Très terrible" : vous voulez dire "Super bien" ou "super nul" ?
Ça peut signifier les deux ! ;)
Cordialement,
Gabrielle
Bonour Gabrielle !
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais la chanson que Philippe a chantée est très célèbre au pays Basque. Elle s'agit d'un oiseau. Je vous laisse la traduction:
Si je lui avais coupé les ailes
Il aurait été à moi
Il ne serait pas parti
Oui mais voilà,
Il n'aurait plus été un oiseau
Oui mais moi,
C'était l'oiseau que j'aimais
Coucou Joon !
Je savais que la chanson était connue, mais je ne connaissais pas la signification des paroles. Merci beaucoup pour cette précision très intéressante sur le fait qu'il s'agit d'un oiseau dans la chanson ! C'est super d'avoir la traduction.
Bonne continuation !
Gabrielle
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