Baptiste explique la profession de viticulteur !
Voici une interview pour les gens qui s’intéressent au vin, ou qui veulent travailler dans ce domaine professionnel. Baptiste a 29 ans et il habite en Gironde (dans la région de Bordeaux). C’est une région célèbre pour ses vins, et justement, il est viticulteur. Il parle ici de sa profession. Le niveau A2 (au minimum) est nécessaire pour comprendre l’interview.
PRÉPARATION À L’ÉCOUTE :
Avant de commencer, vous pouvez faire ce quiz sur la vigne et le vin pour réviser ou apprendre du vocabulaire.
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DOCUMENT AUDIO (5 minutes 02) :
Tout d’abord, je vous propose d’écouter l'interview une première fois, sans faire l’exercice, pour comprendre globalement de quoi il s’agit.
Puis, avant d’écouter de nouveau l’interview, vous pouvez lire ces questions qui vous indiquent quelles informations vous allez devoir entendre.
1. Comment s’appelle un élaborateur de vin ?
2. Comment s’appelle le processus qui transforme jus de raison en vin ?
3. Comment s’appelle la vente de la production de vin ?
4. Comment est son métier ?
5. Qu’est-ce qui est intéressant pour lui dans son métier ?
6. Quel est le premier problème climatique qui peut détruire la récolte ?
7. Qu’est-ce qu’il faut faire contre les maladies de la vigne ?
8. De quel autre élément climatique ont peur les viticulteurs ?
9. Qu’est-ce qu’il faut faire pour vendre son vin ?
10. « Sainte Foy Bordeaux », qu’est-ce que c’est ?
11. Est-ce que Baptiste fait des voyages professionnels dans d’autres pays ?
12. Pourquoi est-ce que les parents de Baptiste ont décidé de faire du vin biologique ?
13. Quel est le nom exact de la propriété de Baptiste ?
14. Quel est le numéro de téléphone de la propriété de Baptiste ?
15. Si vous allez en France, est-ce que vous pouvez aller voir Baptiste ?
16. Pourquoi est-ce que Baptiste ne donne pas d’adresse de site Internet ?
Écoutez ensuite de nouveau l’interview. Vous pouvez faire l’exercice ci-dessous en même temps.
EXERCICE :
Et maintenant, pour chaque question, choisissez la réponse correcte.
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TRANSCRIPTION :
Lisez enfin la transcription de l’interview et les remarques pour mieux comprendre comment Baptiste explique son travail.
Gabrielle : Salut Baptiste, tu es viticulteur. Tu pourrais nous dire (A) un peu en quoi consiste ton travail, ta profession ?
Baptiste : Alors (a), disons, viticulteur, c’est un métier très complet. Donc (b), tout d’abord, on est producteur de raisin. Donc, euh (c), c’est-à-dire depuis la, la plantation de, de la vigne, jusqu’à, à la production du, du raisin. Ensuite, on est, euh, vinificateur, donc élaborateur de vin, donc le jus de raisin qui est transformé en, en vin par le [processur de…] le processus de la fermentation alcoolique. Ensuite, on est, euh, on vend notre production donc on fait de la commercialisation. Et ensuite, euh, il y a (d) tout l’aspect, euh, technique, euh, au niveau de l’entretien (1) du matériel, euh, l’entretien…
Gabrielle : Oui, c’est presque quatre ou cinq professions en une !
Baptiste : Voilà, donc c’est vraiment un métier très complet.Gabrielle : Oui.
Baptiste : Donc très, très enrichissant (2) et très, très passionnant (3) aussi.
Gabrielle : Oui, qu’est-ce qui te plaît le plus (4), justement dans ce travail ?
Baptiste : Oh, mais j’ai pas (B) vraiment de préférence. Le… ce qui… le plus intéressant, c’est en fait de… de jamais faire le, le même travail, et d’avoir toujours… que ça soit toujours varié, en fait, c’est… c’est ça le plus intéressant.
Gabrielle : Et il y a des difficultés, quand même, ou des moments un peu moins évidents que d’autres ?
Baptiste : Alors, si on veut parler des difficultés, on peut parler de… notamment (5) de cette année où on est confrontés (6) aux aléas climatiques (7). On a… on doit faire face au gel (8) de printemps qui risque d’anéantir (9) la récolte. Euh…
Gabrielle : Ça n’a pas été le cas cette année ?
Baptiste : Ça a pas été vraiment le cas, enfin partiellement (10). On a certaines parcelles (11) qui ont été gelées donc qui ont presque pas de raisins. Ensuite, au niveau des maladies de la vigne. Également (12) si on réalise pas les, les traitements (13) à temps voulu, euh… la vendange risque de… d’être perdue. Voilà, et au… la grêle (14) aussi, c’est un, c’est un élément climatique que redoutent (15) beaucoup les viticulteurs. Voilà et puis après, donc euh, les autres difficultés, c’est au niveau de la commercialisation, il faut passer beaucoup de temps, euh, à vendre son vin. Donc euh, se déplacer (16), faire des, des foires (17), des marchés, euh, contacter régulièrement les, les clients. Euh, voilà.
Gabrielle : Mmh. Et alors par exemple, qu’est-ce que tu as fait comme foire ou marché cette année ?
Baptiste : Donc, euh, bé (e) depuis quelques années, on fait le… le marché de, de Sainte Foy la Grande, donc euh, c’est la, la ville de, de l’appellation.
Gabrielle : L’appellation qui est Sainte Foy Bordeaux.
Baptiste : Sainte Foy Bordeaux, voilà. Euh, et puis après, euh, on réalise, euh, des, des foires, donc des foires bio, parce que... faut que je précise aussi qu’on est en culture biologique. Donc on… je parlerai tout à l’heure de, de la culture biologique, peut-être. Et ensuite, euh, au niveau des, des déplacements, on… donc on fait la Bretagne, euh, un petit peu, un petit peu l’Alsace. Voilà, voilà.
Gabrielle : Et est-ce que vous allez à l’étranger (18), par exemple, parfois ?
Baptiste : L’étranger, non, on va pas à l’étranger, pour l’instant (19). On a des clients à l’étranger mais on… on se déplace pas à l’étranger, pour l’instant.
Gabrielle : Donc vous exportez par le biais de transporteurs.
Baptiste : Voilà.
Gabrielle : Ouais (f), ouais.
Baptiste : Voilà.
Gabrielle : Et alors tu disais tout à l’heure que le vin est biologique*, c’est quand même un bon argument commercial, à notre époque, non ?
Baptiste : Alors, c’est vrai qu’on peut constater qu’il y a de plus en plus de consommateurs qui sont sensibles à (20), à la culture biologique, mais bon, euh, disons que le… la… le passage en culture biologique a été réalisé par mes parents en 1987 mais le but n’était vraiment pas commercial, c’était, euh, une conviction (21) en fait qu’ils avaient de faire le travail de, de viticulteurs de… en… disons en respectant la nature, en respectant, euh, leur santé, et voilà.
Gabrielle : Et si on veut en savoir un peu plus sur ta propriété, dont tu n’as d’ailleurs pas encore cité le nom, je crois, comment est-ce qu’on peut faire ?
Baptiste : Donc pour citer le nom, donc la propriété, c’est le Château le Peyrail, P-E-Y-R-A-I-L, pour l’épeler (22).
Baptiste : Donc, euh, bé si vous voulez nous contacter, euh, je vais laisser peut-être un numéro de téléphone, ou… [rires]
Gabrielle : Pourquoi pas, allez, vas-y !
Baptiste : Donc, euh, 05 57 41 23 09.
Gabrielle : Voilà, donc depuis la France et on fait l’indicatif français si on appelle de l’étranger.
Baptiste : Voilà, exactement !
Gabrielle : Et si quelqu’un te téléphone, quelqu’un qui écoute ce blog, ils peuvent venir vous voir, euh, te voir, te rendre visite ?...
Baptiste : Voilà, si vous, euh, prenez rendez-vous, on peut se rendre disponible. Il y a pas de problème !
Gabrielle : Bon, c’était un peu de publicité ! Est-ce qu’il y a un site Internet éventuellement aussi ?
Baptiste : Donc le site Internet** est en projet donc, euh, il sera réalisé d’ici quelques années, sûrement !
Gabrielle : Voilà, on espère ! Ben, merci beaucoup !
Baptiste : Voilà, merci à vous !
Remarques de grammaire :
A) Tu pourrais nous dire… ? = Tu peux nous dire s’il te plaît ?
B) J’ai pas : la forme normale est « Je n’ai pas ». La négation complète est « ne…pas ». Baptiste a fait une erreur mais c’est une erreur que tout le monde fait (quand on parle, mais pas à l’écrit).
Lisez enfin la transcription de l’interview et les remarques pour mieux comprendre comment Baptiste explique son travail.
Gabrielle : Salut Baptiste, tu es viticulteur. Tu pourrais nous dire (A) un peu en quoi consiste ton travail, ta profession ?
Baptiste : Alors (a), disons, viticulteur, c’est un métier très complet. Donc (b), tout d’abord, on est producteur de raisin. Donc, euh (c), c’est-à-dire depuis la, la plantation de, de la vigne, jusqu’à, à la production du, du raisin. Ensuite, on est, euh, vinificateur, donc élaborateur de vin, donc le jus de raisin qui est transformé en, en vin par le [processur de…] le processus de la fermentation alcoolique. Ensuite, on est, euh, on vend notre production donc on fait de la commercialisation. Et ensuite, euh, il y a (d) tout l’aspect, euh, technique, euh, au niveau de l’entretien (1) du matériel, euh, l’entretien…
Gabrielle : Oui, c’est presque quatre ou cinq professions en une !
Baptiste : Voilà, donc c’est vraiment un métier très complet.Gabrielle : Oui.
Baptiste : Donc très, très enrichissant (2) et très, très passionnant (3) aussi.
Gabrielle : Oui, qu’est-ce qui te plaît le plus (4), justement dans ce travail ?
Baptiste : Oh, mais j’ai pas (B) vraiment de préférence. Le… ce qui… le plus intéressant, c’est en fait de… de jamais faire le, le même travail, et d’avoir toujours… que ça soit toujours varié, en fait, c’est… c’est ça le plus intéressant.
Gabrielle : Et il y a des difficultés, quand même, ou des moments un peu moins évidents que d’autres ?
Baptiste : Alors, si on veut parler des difficultés, on peut parler de… notamment (5) de cette année où on est confrontés (6) aux aléas climatiques (7). On a… on doit faire face au gel (8) de printemps qui risque d’anéantir (9) la récolte. Euh…
Gabrielle : Ça n’a pas été le cas cette année ?
Baptiste : Ça a pas été vraiment le cas, enfin partiellement (10). On a certaines parcelles (11) qui ont été gelées donc qui ont presque pas de raisins. Ensuite, au niveau des maladies de la vigne. Également (12) si on réalise pas les, les traitements (13) à temps voulu, euh… la vendange risque de… d’être perdue. Voilà, et au… la grêle (14) aussi, c’est un, c’est un élément climatique que redoutent (15) beaucoup les viticulteurs. Voilà et puis après, donc euh, les autres difficultés, c’est au niveau de la commercialisation, il faut passer beaucoup de temps, euh, à vendre son vin. Donc euh, se déplacer (16), faire des, des foires (17), des marchés, euh, contacter régulièrement les, les clients. Euh, voilà.
Gabrielle : Mmh. Et alors par exemple, qu’est-ce que tu as fait comme foire ou marché cette année ?
Baptiste : Donc, euh, bé (e) depuis quelques années, on fait le… le marché de, de Sainte Foy la Grande, donc euh, c’est la, la ville de, de l’appellation.
Gabrielle : L’appellation qui est Sainte Foy Bordeaux.
Baptiste : Sainte Foy Bordeaux, voilà. Euh, et puis après, euh, on réalise, euh, des, des foires, donc des foires bio, parce que... faut que je précise aussi qu’on est en culture biologique. Donc on… je parlerai tout à l’heure de, de la culture biologique, peut-être. Et ensuite, euh, au niveau des, des déplacements, on… donc on fait la Bretagne, euh, un petit peu, un petit peu l’Alsace. Voilà, voilà.
Gabrielle : Et est-ce que vous allez à l’étranger (18), par exemple, parfois ?
Baptiste : L’étranger, non, on va pas à l’étranger, pour l’instant (19). On a des clients à l’étranger mais on… on se déplace pas à l’étranger, pour l’instant.
Gabrielle : Donc vous exportez par le biais de transporteurs.
Baptiste : Voilà.
Gabrielle : Ouais (f), ouais.
Baptiste : Voilà.
Gabrielle : Et alors tu disais tout à l’heure que le vin est biologique*, c’est quand même un bon argument commercial, à notre époque, non ?
Baptiste : Alors, c’est vrai qu’on peut constater qu’il y a de plus en plus de consommateurs qui sont sensibles à (20), à la culture biologique, mais bon, euh, disons que le… la… le passage en culture biologique a été réalisé par mes parents en 1987 mais le but n’était vraiment pas commercial, c’était, euh, une conviction (21) en fait qu’ils avaient de faire le travail de, de viticulteurs de… en… disons en respectant la nature, en respectant, euh, leur santé, et voilà.
Gabrielle : Et si on veut en savoir un peu plus sur ta propriété, dont tu n’as d’ailleurs pas encore cité le nom, je crois, comment est-ce qu’on peut faire ?
Baptiste : Donc pour citer le nom, donc la propriété, c’est le Château le Peyrail, P-E-Y-R-A-I-L, pour l’épeler (22).
Baptiste : Donc, euh, bé si vous voulez nous contacter, euh, je vais laisser peut-être un numéro de téléphone, ou… [rires]
Gabrielle : Pourquoi pas, allez, vas-y !
Baptiste : Donc, euh, 05 57 41 23 09.
Gabrielle : Voilà, donc depuis la France et on fait l’indicatif français si on appelle de l’étranger.
Baptiste : Voilà, exactement !
Gabrielle : Et si quelqu’un te téléphone, quelqu’un qui écoute ce blog, ils peuvent venir vous voir, euh, te voir, te rendre visite ?...
Baptiste : Voilà, si vous, euh, prenez rendez-vous, on peut se rendre disponible. Il y a pas de problème !
Gabrielle : Bon, c’était un peu de publicité ! Est-ce qu’il y a un site Internet éventuellement aussi ?
Baptiste : Donc le site Internet** est en projet donc, euh, il sera réalisé d’ici quelques années, sûrement !
Gabrielle : Voilà, on espère ! Ben, merci beaucoup !
Baptiste : Voilà, merci à vous !
Remarques de grammaire :
A) Tu pourrais nous dire… ? = Tu peux nous dire s’il te plaît ?
B) J’ai pas : la forme normale est « Je n’ai pas ». La négation complète est « ne…pas ». Baptiste a fait une erreur mais c’est une erreur que tout le monde fait (quand on parle, mais pas à l’écrit).
Remarques sur la prononciation et les habitudes de langage :C’est très important de connaître les habitudes de langage et les prononciations, surtout si vous travaillez avec des collègues français. C’est souvent difficile à comprendre dans les conversations, donc c’est important ! Voici des remarques pour vous aider.
Remarques générales : Si vous lisez la transcription, vous allez remarquer que Baptiste commence beaucoup de phrases qu’il ne finit pas. De plus, il répète parfois des mots. On parle toujours comme ça quand on explique quelque chose : c’est normal !
Autres remarques :
a) Alors : c’est une manière de commencer une explication, de chercher un peu ses idées.
b) Donc : c’est pour détailler. Ici, « donc » est un peu comme « c’est-à-dire ».
c) Euh : on dit « euh » quand on cherche ses mots. C’est une habitude de langage.
d) Il y a : ici, on entend « y’a ». C’est une prononciation habituelle.
e) Bé : « Ben » = « Eh bien ». La prononciation « bé » est une habitude du Sud de la France. c’est une manière de commencer une explication.
f) Ouais = oui. Mais « ouais » est plus familier que « oui ».
Remarques de vocabulaire :1) Au niveau de l’entretien = en ce qui concerne l’entretient, concernant l’entretien.
2) Enrichissant : qui fait apprendre beaucoup de choses. On va devenir « riche », pas en argent mais en connaissances ou en compétences.
3) Passionnant = très intéressant.
4) Qu’est-ce qui te plaît le plus ? = « Qu’est-ce que tu aimes le plus ? ». « Ça me plaît » = « J’aime ».
5) Notamment = en particulier.
6) On est confrontés à = on a un problème et on doit trouver une solution à ce problème.
7) Les aléas climatiques : « un aléa » = quelque chose qu’on ne peut pas prévoir, = quelque chose qui arrive par surprise, = un hasard. « Climatique » = qui concerne le climat.
8) Le gel = quand la température est inférieure à 0°C (zéro degrés Celsius). Le verbe = geler.
9) Anéantir = détruire. Le nom = la destruction.
10) Partiellement = en partie, pas complètement.
11) Une parcelle = une portion de terrain (une zone) où il y a une même culture.
12) Également = aussi.
13) Un traitement = quand on met des produits sur la vigne pour limiter (ou éliminer) les maladies.
14) La grêle = quand des petits morceaux de glace tombent du ciel.
15) Redouter = craindre, avoir peur de…
16) Se déplacer = changer de lieu. Pour Baptiste = aller vendre son vin dans d’autres lieux.
17) Une foire = un grand marché public qui se passe en des lieux et à des dates fixes.
18) À l’étranger = dans un autre pays.
19) Pour l’instant = pour le moment, jusqu’à maintenant.
20) Être sensible à quelque chose = être spécialement intéressé par quelque chose, être facilement touché par quelque chose.
21) Une conviction = une opinion très forte, une idée qu’on trouve très importante.
22) Épeler = dire les lettres d’un mot, d’un nom, pour expliquer comment ça s’écrit.
Remarques spéciales sur le vocabulaire du monde agricole :
Regardez ce diaporama qui vous aidera en plus à comprendre un peu le système des mots « de la même famille ».
a) Alors : c’est une manière de commencer une explication, de chercher un peu ses idées.
b) Donc : c’est pour détailler. Ici, « donc » est un peu comme « c’est-à-dire ».
c) Euh : on dit « euh » quand on cherche ses mots. C’est une habitude de langage.
d) Il y a : ici, on entend « y’a ». C’est une prononciation habituelle.
e) Bé : « Ben » = « Eh bien ». La prononciation « bé » est une habitude du Sud de la France. c’est une manière de commencer une explication.
f) Ouais = oui. Mais « ouais » est plus familier que « oui ».
Remarques de vocabulaire :1) Au niveau de l’entretien = en ce qui concerne l’entretient, concernant l’entretien.
2) Enrichissant : qui fait apprendre beaucoup de choses. On va devenir « riche », pas en argent mais en connaissances ou en compétences.
3) Passionnant = très intéressant.
4) Qu’est-ce qui te plaît le plus ? = « Qu’est-ce que tu aimes le plus ? ». « Ça me plaît » = « J’aime ».
5) Notamment = en particulier.
6) On est confrontés à = on a un problème et on doit trouver une solution à ce problème.
7) Les aléas climatiques : « un aléa » = quelque chose qu’on ne peut pas prévoir, = quelque chose qui arrive par surprise, = un hasard. « Climatique » = qui concerne le climat.
8) Le gel = quand la température est inférieure à 0°C (zéro degrés Celsius). Le verbe = geler.
9) Anéantir = détruire. Le nom = la destruction.
10) Partiellement = en partie, pas complètement.
11) Une parcelle = une portion de terrain (une zone) où il y a une même culture.
12) Également = aussi.
13) Un traitement = quand on met des produits sur la vigne pour limiter (ou éliminer) les maladies.
14) La grêle = quand des petits morceaux de glace tombent du ciel.
15) Redouter = craindre, avoir peur de…
16) Se déplacer = changer de lieu. Pour Baptiste = aller vendre son vin dans d’autres lieux.
17) Une foire = un grand marché public qui se passe en des lieux et à des dates fixes.
18) À l’étranger = dans un autre pays.
19) Pour l’instant = pour le moment, jusqu’à maintenant.
20) Être sensible à quelque chose = être spécialement intéressé par quelque chose, être facilement touché par quelque chose.
21) Une conviction = une opinion très forte, une idée qu’on trouve très importante.
22) Épeler = dire les lettres d’un mot, d’un nom, pour expliquer comment ça s’écrit.
Remarques spéciales sur le vocabulaire du monde agricole :
Regardez ce diaporama qui vous aidera en plus à comprendre un peu le système des mots « de la même famille ».
Remarques culturelles, pour finir :
*Biologique : les produits biologiques sont cultivés SANS produits chimiques, SANS pesticides, ils sont complètement naturels. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, de plus en plus d’agriculteurs font de la culture biologique. Et de plus en plus de gens achètent des produits biologiques. Parfois, c’est une mode, c’est vrai. Mais c’est aussi pour protéger l’environnement, faire attention à leur santé. Et chez vous ? C’est la même chose ou non ? Vous pouvez laisser des commentaires pour présenter la situation dans vos pays ! Pourquoi pas ?
**Le site Internet : il existe maintenant ! Cliquez ici pour le consulter.
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